Nos soirées-ciné hebdomadaires se poursuivent, mais prennent un tournant ! 😊 Les dix ans sonnants et trébuchants de la Damoiselle signent deux changements importants :
- D'abord, le panel des films s'élargit - nous avions déjà eu cette impression aux 8 ans de Louiselle, l'impression de débloquer un monde dans l'univers du cinéma ! Youpi !
- Ensuite, c'en est fini de subir les VF pourries ! Mon homme et moi regardons toujours un film dans sa version originale (sous-titrée en français, hein 😄). C'est vraiment important pour nous d'avoir accès aux voix des acteurs - et franchement, la plupart des doublages laissent vraiment à désirer. C'est logique, l'exercice est en soi intrinsèquement scabreux : comment calquer du français sur un mouvement de lèvres qui ne correspond pas à notre langue ? Comment caser des phrases dont la longueur, une fois traduites, ne collent pas aux répliques originales ? Personnellement, cette distorsion de la Vf m'épuise, et cela faisait des mois que je préparais les enfants : aux dix ans de Louiselle, on passe à la VO ! 🎉
Leur réaction ? Mais cela passe comme une lettre à la poste, et je parie qu'en quelques mois, ces enfants-là vont devenir aussi allergiques à la VF que leurs parents. Louiselle râle parfois un peu, en amont, pour la forme, mais une fois le film lancé, on ne l'entend plus. Après visionnage, Antonin baragouine en anglais pendant plusieurs jours (oui, nos films étrangers sont souvent anglophones, c'est un fait ...). Le seul problème est que la VOst n'est pas très pratique ... quand on mange ! 😅 Nous dînons généralement devant le film lors de nos soirées-ciné, et il faut parfois baisser les yeux vers son assiette, au risque de louper la lecture d'une réplique ! Louiselle a trouvé la parade : "Quand il y a un silence, vite, vite, je prends une bouchée !". 😄 À moi de veiller à concocter des petits plateaux ciné facile à manger "sans les yeux", donc.
Note : les films d'animation sont toujours vu en français. Puisque de toute façon, ils font l'objet d'un doublage ...
Les films ayant particulièrement plu aux enfants sont signalés ainsi :
Les cœurs jaunes 💛💛💛 signalent les coups de cœur de ma Damoiselle de 10 ans.
Les cœurs verts 💚💚💚 indiquent ceux de mon Damoiseau de 11 ans.
Très logiquement, je place 6 cœurs, 💚💚💚💚💚💚, quand il s'agit d'un double coup de cœur (oui, oui).
Je n'indique pas mes propres chouchous, mais puisque c'est moi qui rédige les critiques, vous saurez tout de suite si j'ai aimé ou pas. 😄
(Mais est-ce vraiment moi qui rédige les critiques ? Cette fois, Louiselle a voulu m'y aider et vous verrez parfois passer ces propres commentaires. La Damoiselle a mis un soin particulier à ne pas "spoiler", j'espère que vous apprécierez ! 😏)
Voici les films-jeunesse vus ce printemps 2022 :
Laurent Tirard, 2012.
💚💚💚
Malgré un casting époustouflant et des décors léchés 100% images de synthèse, la production tombe à plat. D'abord, se moquer ainsi de nos voisins anglais, c'est franchement d'un goût douteux - toute la subtilité truculente de la BD a disparu, on est dans le sarcasme stérile. Ensuite nos deux héros gaulois sont complètement effacés, presque pathétiques. Et puis, Antonin a trouvé qu'il y avait trop d'histoires d'amour. 😏 On retient tout de même la prestation de Vincent Lacoste, dans le rôle de l'ado stéréotypé, qui nous a fait bien rire. Notre Dvd proposait d'ailleurs un court-métrage en son honneur, "La vie d'un jeune à Lutèce", qui a beaucoup plu aux enfants.
Âge indicatif : dès 9 ans, mais je vous conseille plutôt Mission Cléopâtre pour vos adonaissants, bien supérieur et vraiment drôle (lui) !
Byron Howard, 2021.
💛💛💛
L'idée de départ était franchement sympa, et j'étais toute contente de voir ce film. Mais ... les chansons !!! Rhâââ, mais ... les chansons !! Je croyais que Disney avait tourné la page des chansons-rasoir, mais ici c'est l'overdose : trop de chansons, trop longues, et surtout, elles ont une vocation narrative : c'est-à-dire que certains éléments du récit sont pris en charge par les chansons, arg, c'est épuisant - d'autant qu'elles sont toutes (à une exception près) complètement nulles. Sinon, le film n'est pas dénué d'ambition, j'aime cette thématique des non-dits familiaux, et cette idée que le fantasme de la famille rêvée éclipse la famille réelle - hautement imparfaite, mais réelle. Mais ces thématiques sont mal exploitées, certains personnages cruciaux (comme celui de la grand-mère) ne sont pas approfondis, et les hommes de l'histoire sont complètement effacés - voire clairement ridicules.
Âge indicatif : dès 8 ans.
Philippe de Broca, 1964.
💛💛💛
💚💚💚
Un héros digne d'une bande dessinée d'aventure - Antonin a d'ailleurs tissé plusieurs parallèles avec l'univers de Tintin. Voilà une aventure invraisemblable, rocambolesque, et on n'a à peine le temps de respirer. Le rythme ralentit néanmoins dans la deuxième partie du film, qui aurait pu être légèrement écourtée. Mes enfants ont assisté à leurs premiers morts au cinéma - le deuxième est même étranglé sous nos yeux, même si cela reste soft. Les enfants en redemandent, et si vous avez des films de la même veine à nous conseiller, nous prenons !
💛💛💛
💚💚💚💚💚💚
Je cherchais un film de super-héros adapté aux enfants ... Bingo, ici : tout y est ! J'aime beaucoup ce genre, les films sont - lorsqu'ils sont réussis - de véritables miroir de notre société, de ses tensions et de ses paradoxes, mais aussi des valeurs et des espérances de notre époque. Ici, le nounours bibendum est craquant, le méchant n'est pas celui que l'on croyait, et la ville tentaculaire offre ce qu'elle a : de la solitude, des deuils, de la défiance, de l'insécurité, des gouvernants en crise, mais aussi ses lumières, ses amitiés et son énergie. Une splendide réussite (et sans aucune chanson, ouf).
Oh, mais ? Une petite Damoiselle se colle à moi et me propose son aide pour rédiger mes critiques cinéma ... Je lui laisse le clavier, si vous le voulez bien :
La critique de Louiselle : " Une belle histoire assez compliquée pour arriver dans un autre monde."
(Ah, oui, la Damoiselle a raison et j'avais oublié : le film est aussi une initiation à la notion de mondes parallèles - on dit aujourd'hui "multivers"-, tellement à la mode, mais complexe à saisir pour les plus jeunes.)
Âge indicatif : dès 10 ans.
Gene Kelly, 1952.
💛💛💛
Franchement, que pourrait donner ce film en Vf, hein ? Je ne préfère pas le savoir ... Voilà une histoire de doublure, justement : avec l'avènement du film parlant, la superstar incarnée par Jean Hagen révèle sa voix ... Et si la jeune femme passe fort bien à l'écran, on ne peut pas en dire autant de son timbre nasillard. Les producteurs décident donc de la doubler systématiquement par une obscure midinette, inconnue de tous, mais à la voix sensuelle. Pour la petite histoire, dans le vrai tournage, ce fut l'inverse : la midinette Debbie Reynolds sera doublée dans la plupart de ses chansons, et la super-star Jean Hagen enregistre elle-même sa propre voix "doublée", celle qui n'est pas censée être la sienne .... Vous suivez ? 😵
M'enfin, bref, cette merveille n'a pas pris une ride, même si la longue scène Make 'em laugh aurait pu être coupée - elle est absolument splendide, mais hors sujet, et ferait aujourd'hui l'objet d'un bonus...
La critique de Louiselle : "Un film avec une actrice super belle mais qui chante comme une casserole et qui n'aime pas son mari (elle l'a épousé car ce sont tous les deux des stars) ".
(On voit dans ce commentaire que pour une enfant de 10 ans, les choses sont claires : partenaires à l'écran = partenaires dans la vie. 😉 C'est instructif pour moi de voir ce qu'elle a compris ou pas, et bien sûr : il n'est pas essentiel que l'enfant comprenne tout pour apprécier un film. Qui nous dit d'ailleurs qu'ils n'ont pas été amants, ces deux-là ?)
Âge indicatif : dès 10/11 ans.
Danny DeVito, 1996.
Très plaisant, des plans dynamiques, un univers esthétique bien travaillé, et une grande fidélité au roman (lisez-le avant !). Tout y est, mais il manque peut-être un petit je-ne-sais-quoi pour que ce soit vraiment parfait. Attention, nous sommes ici dans le second degré permanent : des adultes très négatifs jalonnent l'histoire, il faut avoir suffisamment de recul pour comprendre que c'est drôle ! Un enfant trop jeune risquerait de prendre toutes ces maltraitances au pied de la lettre, et n'en sortirait pas indemne.
Âge indicatif : dès 9 ans.
Richard Donner, 1978.
💚💚💚
Encore un film de super héros - mais cette fois, c'est un original, et non un hommage bourré de références comme peut l'être les Indestructibles. J'étais très impatiente de montrer ce film aux enfants, un des seuls du genre qui soit visible par les plus jeunes. La réalisation est impeccable malgré quelques longueurs - le générique de début nous a fait mourir de rire ! Interminable, plat au possible, oui, mais avec un effet "plein la vue" s'il vous plait - un effet qui a bien vieilli. La BO est mythique, et puis : il y a Christopher Reeves. ❤ L'esprit BD est intact (ah, ah, Lex Luthor et son palace dans les égouts !), pour le meilleur et pour le pire : kitsch à gogo et chute incohérente - c'est ça qu'on aime.
La critique de Louiselle : "Superman est un film où l'on voit bien que les acteurs changent ; c'est pour ça que c'est compliqué à comprendre."
Âge indicatif : 10 ans.
Mamoru Hosoda, 2015.
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Voici le coup de cœur unanime de mes enfants - il faut dire que ça commence fort. Franchement, les deux premiers tiers du film n'ont rien à envier à un Miyazaki. Qu'il s'agisse de l'animation proprement dite, des décors ou du scénario, plein de finesse et de réflexions très abouties, c'est un ravissement. Il y est question de filiation, de gestion des émotions, de la difficulté à communiquer - avec une belle dose de critique sociale. Je regrette que la dernière partie soit un peu bancale, mais Antonin a vraiment aimé les allers et retours entre le monde des hommes et celui des bêtes. Attention, la fin est violente - tellement japonaise, sur fond de combat à mort entre deux forces monstrueuses ... qui n'est que la lutte que nous menons, au quotidien, contre nous-mêmes.
La critique de Louiselle : "J'ai aimé ce film car il est très bizarre : surtout là où l'enfant devient le maitre de son propre maitre."
Âge indicatif : dès 10 ans.
Merian C. Cooper, 1933.
Il faut absolument remettre ce film dans le contexte : nous sommes à l'orée du film parlant, et un nouveau genre voit le jour, celui du film d'épouvante. Oui, oui, d'épouvante ! King Kong sort en salle en 1933, et lorsque les spectateurs le découvrent, ils s'évanouissent ! Ils vomissent ! Ils hurlent ! Ils quittent la salle en titubant ! L'émotion est telle qu'en 1938, on décide de couper les scènes les plus trash. Pour nous, nous avons visionné la version intégrale, réinvestie de ses scènes coupées.
La critique de Louiselle : "Il y a des moments un peu déroutants quand même : des scènes de combat dégoutantes (quand la mâchoire du tyrannosaure est brisée). Ça peut stresser."
Âge indicatif : dès 10 ans.
Caroll Ballard, 1979.
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Ah, petite exception ! Ce film-là a été vu en version française, lors d'une soirée pyjama avec les amies de la Damoiselle - je ne veux pas traumatiser les petites copines de ma fille, quand même, ah non mais oh. 😄 Déjà que je leur balance un film des années 70, comme ça, sans crier gare ! La petite brochette de jeunes filles a beaucoup apprécié. Elles ont passé tout le film à commenter le film allègrement - de vraies pipelettes, et franchement c'était trop mignon. Je ne faisais que passer de temps en temps, mais je ne me lassais pas de les écouter, leurs babillages me donnaient vraiment une fenêtre sur la manière dont elles vivaient l'histoire - un régal.
Elles sont toutes ressorties en-chan-tées.
Moi, je ne peux vous parler du film, car je ne l'ai vu que d'un œil ... De toute façon, c'est un film de mon enfance - alors, je ne serais pas objective. 😉
La critique de Louiselle : "J'ai adoré ce film car j'aime les chevaux."
Âge indicatif : dès 10 ans.
Rich Moore, 2016.
💛💛💛
Mon homme et moi avons complètement redécouvert ce film avec notre fille - Antonin regardait un match de foot ce soir-là. C'est vraiment très très bien ! Des décors archi-léchés (chaque quartier de la ville a son cachet propre), des jeux d'échelle hilarants (certains animaux sont beaucoup plus petits que d'autres), des personnages expressifs au possible (à la fois réalistes et cartoonesques, incroyables). Et l'histoire ? Et bien, c'est un film noir mâtiné de buddy movie ("film de potes"). Le genre de cocktail qui me plait bien. Évidemment, cela reste un Disney, et on n'échappe pas à la dose requise de bons sentiments (il faut se battre pour aller au bout de ses rêves et dépasser sa condition, bla bla), mais l'enquête est tortueuse, on est tenu en haleine jusqu'au bout.
La critique de Louiselle : "La première fois que j'ai vu ce film, c'était chez mon oncle, j'avais neuf ans et j'ai eu très peur : surtout à cause de la rage, et de la scène où l'on se demande qui est le méchant. La deuxième fois, j'avais dix ans, et j'ai eu beaucoup moins peur."
Âge indicatif : 10 ans.
Peter Ramsey, 2018.
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Petite séance seule à seule avec Antonin - notre séance spéciale covidés, blottis-meurtris au fond du canapé. 😄
C'est un énorme coup de cœur, qui fait bien du bien dans ce monde où les superproductions Marvel s'enchainent plus vite qu'on ne peut les voir - pour le meilleur et pour le pire (mais surtout pour le pire).
Mais bien sûr ! Pour transcrire l'esprit BD originel, il fallait un film d'animation, c'est évident ! La première moitié du film est une véritable claque, un tourbillon ! La dernière partie est sans doute plus classique - bon, on déroule, et il faut bien parvenir à vaincre le méchant - mais avec rythme et pertinence, s'il vous plait. L'ensemble est vraiment convaincant, c'est un film parfait pour les petits qui ont besoin de se sentir grand.
Âge indicatif : dès 11 ans.
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Côté documentaires, nous poursuivons nos chers Sur le chemin de l'école, en les alternant avec des documentaires animaliers. Ce type de ressources ne manque pas, et les productions rivalisent de beauté : Un jour sur terre, Amazonia, Félins (ou Grizzly ou tous les autres Disney nature), La France sauvage ... Seulement, j'aimerais bien varier un peu, parfois. Dégoter quelques documentaires scientifiques ou historiques, par exemple. Pas simple. Vous auriez des tuyaux ? 😏
Côté série animée, nous venons de terminer Hilda. C'est sympathique, mais les dessins animés n'arrivent pas à la cheville de la BD - les meilleurs épisodes sont d'ailleurs ceux qui reprennent au plus près l’œuvre originale. J'ai trouvé l'ensemble assez inégal, mais les enfants ont bien accroché.
Nous entamons demain la série vintage Ulysse 31 ! Je trépigne l'impatience ... On va bien s'amuser à retrouver les références au mythe dans cette histoire futuriste, et pour moi, ce sera une vraie madeleine de Proust ! Ulysse 31, mon grand amour du collège ! 😄 L'épisode 1 (Le cyclope) est disponible en streaming ICI. Dès 10 ans.
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Ma tâche de ces prochains jours est de créer un nouveau libellé "Cinéma", que vous retrouverez dans la colonne à droite de ce blog 👉 et qui compilera toutes nos chroniques, ainsi que les classements par âge. J'y travaille, et tout devrait être opérationnel d'ici quelques jours !
Prenez soin de vous, et vivement les vacances (hein ?) ❤
"Les nouveaux héros" a aussi été très apprécié chez nous, et même revu ; comment ne pas s'attacher au robot infirmier délicat et malhabile ? Et nous aimons tous les films de Mamoru Hosoda (un autre réalisateur féru de mondes parallèles) : les enfants loups mais aussi Summer Wars ou Belle (il y a une chanson !)
ReplyDeletemerci pour les recommandations de films classiques et Matilda, je n'ai jamais vu le film !
Dans la même veine que l'Homme de Rio : Les tribulations d'un chinois en Chine. Du même réalisateur, avec Belmondo et Ursula Andress. Les références à Tintin sont encore plus nombreuses et on pourra faire un lien avec les premiers James Bond. Seul problème : film très difficile à trouver !
ReplyDeleteah merci pour cette saison de film dont je vais piquer quelques pépites pour les mois à venir! De mon coté j'ai aimé les chansons d'encanto. oui c'est un peu too much mais ca nous a fait rire et chanté à tue tête en famille et rien que pour ca ca valait le coup ;-) je trouve ca aussi intéressant que ca complète réellement l'histoire, un peu en mode comédie musicale. Bel été chez vous!
ReplyDeleteRhooo Bebel ❤ Tellement hâte de pouvoir partager ce genre de film avec mes zouzous 😊
ReplyDeleteCôté documentaires, je dois avouer que les historiques qui me viennent à l'esprit ne sont pas vraiment adaptés pour des enfants 😑 Par contre, dans la même veine que "Bébés" (je me souviens que tu en avais parlé ici), il y a "Le Premier Cri" et dans la catégorie "Ecole" mais qui se passent chez nous, je pense à "La Cour de Babel" et "A voix haute" ... bon je les ai tous vu il y a des années, donc je me rend pas bien compte de l'âge pour lequel il sont adaptés 🤔
Oui vivement les vacances et vive les vacances.Nous sommes en decalage avec toi ;notre 10 ans est l'ainé ,numéro 2 a 7 ans. .Il va falloir patienter un peu .Merci pour tes idees qui serviront un jour. et bonnes vacances.
ReplyDeleteBonsoir, merci pour ces toutes suggestions que je note précieusement ! Nous aussi, nous avions beaucoup aimé L'homme de Rio et Le garçon et la bête. Il y a aussi l'Aventure c'est l'aventure ou Le grand blond avec une chaussure noir qui ont été appréciés ici (en cm2). On attendra un peu pour Les Tontons Flingueurs, hi hi.
ReplyDeletePendant ce dernier trimestre avec notre 6ème, parmi nos coups de coeur, il y a L'Ascencion (L Bernard - comédie bien drôle, parfaite pour terminer la semaine), A la poursuite d'Octobre Rouge (avec quelques arrêts pour réexpliquer des passages avec le contexte de la guerre froide), Intouchable (je ne me souvenais plus des allusions un peu olé olé mais ça passe), Hors Normes (Toledano/Nakache - idem quelques explications sur l'accompagnement de l'autisme en France), A voix haute, la force de la parole (très touchant et parfait pour rappeler les bases pour un exposé en classe). Un dessin animé mignon Stubby.
Nous aussi nous battons pour la VO, parce que vraiment, la VF fait mal aux oreilles mais pour l'instant, ça couine trop.